Maquettes Ferroviaires
et Collections

De SMCF à HOrnby HO ou l’histoire de l’évolution d’une grande lignée de 1950 à 1973


Les accessoires et les éléments de décoration


Plaisir du collectionneur, reconstituer le superbe réseau illustré dans le catalogue général Meccano 1961. Sur cette illustration, je n’y suis pas encore totalement parvenu, mais 40 ans après je peux vous annoncer un scoop, le plan du catalogue ne représente pas la réalité du réseau illustré, celui-ci est rallongé d’au moins trois longueurs de rails droits ref 750 soit plus de soixante centimètres.

Si en ce qui concerne les voitures et wagons, SMCF à fait quasiment jeu égal en choix et variété de modèles avec HOrnby-acHO, il n’en est pas de même en ce qui concerne les accessoires. A part des pièces détachées de wagons, SMCF n’a jamais produit aucun accessoire, alors que la gamme HOrnby-acHO a intégré dès le départ un système de voie complet, des bâtiments et des accessoires. A l’image des grands constructeurs allemands comme Märklin, Meccano a développé un système de jeux complet, fidèle à l’esprit de la gamme des trains à l’échelle 0.

Une grande partie des accessoires de gare HOrnby-acHO sont ici réunis.

La gamme très complète des bâtiments et accessoires illustrée dans le catalogue 1963.

Si SMCF n’a jamais produit de voie contrairement à Hornby, dans ses catalogues toutes les illustrations utilisent l’excellente voie Tourelle présentée ici à gauche. Cette voie de très haute qualité, était constituée d’un profilé plein en laiton monté sur des traverses en bois véritable, malheureusement un peu trop espacées. La voie Hornby, avec ses rails en cupro-nickel et ses traverses en plastique est d’une fabrication beaucoup plus industrielle. On note cependant la taille énorme des moteurs d’aiguillages qui nuisent beaucoup à l’esthétique, contrairement aux moteurs Tourelle, beaucoup plus discrets.

La gamme Tourelle est incroyablement complète pour l’époque comme le montre le catalogue Pélican de 1960.

Le catalogue 62/63 qui montre la gamme des éléments de voie déjà très complète deux ans après la naissance de HOrnby-acHO avec des croisements, éléments dételeur et deux rayons de courbure.

Gros handicap pour le jeu, les premiers aiguillages Hornby sont à pointes de cœur non isolées ce qui nécessite coupures et câblages compliqués fort peu compatibles avec un réseau improvisé sur un coin de parquet. Par contre pour les modélistes l’absence de lacune électrique au passage des aiguillages garantit de bons ralentis pour les manœuvres. Les contacts intégrés aux aiguilles permettent de nombreuses possibilités comme le montre les schémas des notices très complètes livrées avec les aiguillages. Lorsque l’on a su éviter les court-circuits, le plaisir de l’exploitation est assuré. Hélas pour les modélistes, l’esthétique des moteurs d’aiguillage n’est pas à la hauteur de leur technicité.

Pour remédier à la complexité de son premier modèle, Hornby sort en 1963 un aiguillage manuel dit SIMPLEC destiné au jeu. Comme le catalogue l’indique il est « très pratique, permet de monter une voie de garage SANS rail de coupure ». Avec cet aiguillage, Hornby se met au niveau des débutants et des jeunes joueurs qui avaient tendance, comme mon père l’avait fait, à s’orienter vers la gamme « new rails » de Jouef, beaucoup plus simple d’utilisation. En 1968, la pointe de cœur métallique est définitivement abandonnée pour une nouvelle gamme d’aiguillage a pointes de cœur isolées. Les aiguillages restent cependant « intelligents » et commandent l’alimentation de la voie vers laquelle les lames sont orientées. Les trois versions sont illustrées sur cette photo de gauche à droite par ordre d’apparition chronologique.

Illustré ci-dessus, un bel échantillon de la gamme des éléments de voie HOrnby-acHO.

Extrait du catalogue 1965 avec la gamme très étendue des coupons de voie droite et courbe. Une spécialité de Hornby était les éléments à une ou deux coupures en plusieurs longueurs ou en différents rayons de courbure. Un vrai casse tête pour celui qui conçoit son réseau, mais une complexité rendue nécessaire par la conception des aiguillages à pointe de cœur métallique. Sans le livre de plan de réseau, l’amateur de l’époque se sent bien démuni. Même l’amateur aguerri que je suis y perd son latin.

On est loin du modélisme d’atmosphère mais il y a beaucoup du modernisme des années soixante dans cette reconstitution.

La gare démontable

Apparue dès la naissance de l’écartement HO chez Meccano en 1960, la gare évoque bien les bâtiments modernes de son époque, issus des reconstructions de l’après guerre. Comme c’est la tradition héritée de l’écartement O et des gares en isorel, elle est démontable. Son assemblage ne nécessite aucune colle ce qui est un avantage certain pour l’amateur maladroit, il n’y a jamais de bavure. Sur la légende de la première illustration de la gare ci-dessus dans le catalogue Meccano 1960, il est bien précisé que les lettres comprises dans la boite permettent d’afficher les raisons sociales de nombreuses compagnies de chemin de fer européen, signe des espoirs de Hornby pour vendre ses produits à l’exportation.

La gare est d’abord livrée dans un emballage en carton gris avec la notice collée à l’intérieur du couvercle. Puis vers 1963 lors de la rénovation des boitages, une nouvelle boite illustrée d’un dessin la met mieux en valeur. Une notice imprimée à part est alors jointe..

Une place de la gare bien agitée au plus fort de la journée. Une scène qui traduit bien le modernisme des trente glorieuses. Les banlieues bétonnées des villes nouvelles ne sont pas loin.

Coté ville, l’illustration la plus connue des catalogues. La gare sera produite durant toute la période d’existence de HOrnby-acHO de 1960 à 1973.

Coté voies, l’esthétique est moins plaisante. La gare est ici illustrée sur les cotés de la boite contenant le poste d’aiguillage et qui sert ainsi de catalogue.

La gare coté voies agrémentée de son très ingénieux système de quais et de passage piétons.

Le catalogue 1962 met en valeur la gare avec une intense circulation d’autos Dinky Toys.

Le poste d’aiguillage

Une illustration de J Massé qui met en scène le poste à l’entrée d’une gare que l’on imagine avec un important faisceau de voies. C’est ainsi que je l’ai reçu à Noël 1964, c’était mon premier accessoire Hornby accompagné d’un signal lumineux qui m’a permis de faire mes premiers pas en câblage électrique.


Tentative de reconstitution de la scène pour la photo.

Apparu en 1961, le poste d’aiguillage est démontable comme les autres bâtiments de Hornby.


Lui aussi dégage un modernisme qui contraste avec la bonne vieille 131 TB.

Le système des quais de gare


Dès 1960, la gare est complétée par un quai moderne directement inspiré du modèle à l’échelle 0 de Hornby. Il est livré avec un sachet d’accessoires : bancs, haut parleurs, pèse personnes, boite aux lettres, distributeurs de confiseries. Les quais comme la gare ou le poste d’aiguillage peuvent être équipés d’un éclairage réf 6580. On découvre aussi les deux types d’emballage des quais.


Apparue en 1961, la boite complémentaire ref 695 comprend des quais sans couverture, des plans inclinés d’extrémité et des passages de voies. Si vous cherchez un casse tête, faites l’exercice de placer les 21 pièces à l’intérieur de la boite ref 695. Vous verrez que l’exercice est compliqué et ne réussira pas sans réflexion.


Les cotés de la boite ref 695 illustrent une des combinaisons possibles en gare de passage

L’on peut reconstituer l’une de ces multiples combinaisons.

Séquence émotion ; ma boite raconte son histoire. Elle possède une référence à trois chiffres, elle est donc antérieure à 1963. Commercialisée dans un grand magasin du Printemps, elle n’a pas du avoir un grand succès et a du finir soldée comme le prix barré l’indique.

Le coté de la boite de la potence de signalisation illustre le quai et le poste d’aiguillage pour inciter l’amateur à compléter ses accessoires

Image très kitch d’enfants que nous aurions pu être jouant avec les trois produits vedettes de Meccano, le fameux jeu de construction du même nom, les autos Dinky Toys et les trains HOrnby acHO. Les accessoires gares, quais et poste d’aiguillage sont présents.

Reconstitution d’un décor typique du début des années soixante avec les accessoires HOrnby-acHO agrémentés de voitures micro Norev et de personnages Merten sur socles gris.

Illustration des accessoires sur une page du catalogue Meccano 1961 avec la vapeur 231 « City of London » d’importation anglaise Hornby Dublo.

La gamme des signaux lumineux

Sur le catalogue 1962, la gamme très complète des signaux. L’indicateur de direction et la potence à nacelle sont les nouveautés de cette année là, le panneau deux feux date du début de HOrnby-acHO en 1960 et le ralentisseur est apparu en 1961.

Toute la gamme est représentée sur cette photo. Il faut aller chercher chez Märklin pour trouver un constructeur avec un choix aussi étendu. C’est un cas unique à l’époque pour un constructeur industriel français, Jouef ne suivra que plus tard et avec moins de modèles

Le signal lumineux est d’abord câblé sur deux feux sous la référence 662. Puis en 1967 apparaît une version câblée trois feux sous la référence 6621. La boite est très complète et comprend des fils de couleur pour le raccordement et une notice très détaillée. L’amateur devait cependant acheter une ampoule supplémentaire de la couleur de son choix pour faire fonctionner les trois feux (orange ou rouge s’il veut rester réaliste par rapport à la signalisation SNCF)


Même constat pour l’indicateur de direction, la notice est complète et détaillée

La deuxième version de la brochure de réseau présente aussi en détail tous les câblages des signaux et en particulier de l’indicateur de direction.

Voici les deux types d’emballage de la potence et la boite complémentaire contenant une nacelle. La première version sur la gauche est richement illustrée d’une scène que j’ai tenté de reconstituer sur cette photo.

La page couleur du catalogue 62/63 illustrant les locomotives est agrémentée en filigrane d’une représentation de la potence.

Comme toutes les boites d’accessoires de la première génération, la boite de la potence est magnifiquement illustrée par Jean Massé. On y voit en arrière plan l’utilisation de deux potences tête bêche pour couvrir quatre voies. La BB 16000 a cependant une silhouette un peu ramassée qui évoque plus une BB 9400 à courant continu, de ligne similaire, mais de taille plus réduite

Filiation entre les potences HOrnby-acHO et celles de marque Disque Rouge. Elles sont toutes les deux de construction soudée en profilés métalliques identiques. Seules les cibles lumineuses et les bornes de raccordement électriques les distinguent. Peut être Disque Rouge a-t-il travaillé en sous-traitance pour Hornby, ou bien a-t-il racheté l’outillage en 1973. Les potences de signalisation Disque Rouge restent disponibles de nos jours, plus de trente ans après la disparition de Hornby. A l’arrière plan sur ce cliché la version 4 voies monobloc de Disque Rouge, comparée aux versions HOrnby-acHO au premier plan et dans la boite.

Les potences Disque Rouge sont largement utilisées sur mon réseau collection. Concession au modernisme, la rame 16 du TGV PSE ayant décroché le modeste record du monde de vitesse en 1981 à 280 km/h attend le passage du feu au vert.

Autre scène de mon réseau collection utilisant les potences Disque Rouge et donc, de filiation HOrnby-acHO.

Le ralentisseur est un accessoire curieux et unique dans le monde du train miniature des années soixante. C’est une simple résistance à intercaler entre le tronçon pleine voie et le tronçon d’arrêt devant un signal. C’est une bonne idée pour remédier aux arrêts trop brusques des locomotives HOrnby-acHO équipées de transmissions à vis sans fin non réversibles et qui ont tendance à « piler » sans cet accessoire. Cependant c’est encore une source de complication pour l’amateur lors de la construction du réseau. La boite livrait un ensemble très complet avec deux éléments de voie à une coupure et deux notices.


Les ponts et éléments de pente

En 1963 apparaît un système d’éléments de pente très sophistiqué sous la forme de deux boites ; la numéro 1 qui permet le passage au dessus d’une voie enroulée et la numéro 2 qui permet une simple élévation. Le système d’assemblage est astucieux et complet, trois types de piliers, éléments droits, courbes deux rayons, rambardes latérales façon béton, profil d’assemblage pour permettre des montages à double voie, rampes d’accès, socle de pile et un très bel élément de pont en treillis.

La superposition des voies permet aux réseaux HOrnby-acHO d’entrer dans la troisième dimension. L’élément de pont en treillis métallique est ici supporté par une rampe Busch sur la droite et par des piles Hornby sur la gauche. La rampe met en valeur l’élégance de la vielle dame 131 TB tractant une rame complète de réfrigérants STEF, mais elle met aussi à rude épreuve ses capacités de traction.

Une troisième boite intitulée « butte de dételage » est aussi composée d’éléments de pente, contrairement à ce que laisse penser la très jolie illustration.


La butte permet le décrochage des wagons au sommet de la pente grâce au découpleur statique ref 7730 qui fonctionne avec l’attelage standard dans un seul sens. Je ne suis pas certain que les qualités de roulement des premières générations wagons Hornby permettaient réellement le triage en franchissant plusieurs aiguillages simplement par gravité ? A vérifier.

Le découpleur et la butte de triage n’auront qu’une carrière éphémère de 1963 à 1964 car ils ne pouvaient fonctionner qu’avec l’attelage standard nylon. L’arrivé de l’attelage universel marquera la fin de leurs brèves carrières.


Une illustration du catalogue 65/66 représentant les deux boites d’éléments de pente. Contrairement aux premiers modèles du concurrent Jouef sortis à la même époque, les éléments de voie ne sont pas intégrés et doivent être achetés à part.

Le pont suspendu fait partie des rares accessoires Triang intégrés au catalogue HOrnby-acHO, après le rachat de 1965. Ce très bel ensemble n’est malheureusement pas compatible avec les éléments de pente au niveau de la jonction. Les pantographes des locomotives électriques doivent impérativement rester baissés pour passer à l’intérieur des piles de pont monumentales.

Deux boites sont proposées, la réf R264 ci-dessus qui comprend quatre tabliers d’une longueur totale de plus de 1m30 et une boite complémentaire réf R 269 à deux tabliers.

Les derniers éléments de décoration

Le catalogue 66/67 annonce comme nouveautés les deux derniers accessoires Hornby ; la gare de marchandise et le passage à niveau.

La gare de marchandises se révèlera décevante pour les modélistes, d’aspect trop sobre et trop jouet, elle n’aura guère de succès.

Rare apparition d’un réseau « usine » dans le catalogue 68/69 qui met en valeur la gare de marchandises complétée de quais.

Le bel ensemble du passage à niveau électrique ref 6948 qui barre le passage des Micro Norev au passage de la 060 DB. La nouvelle pédale de commande est visible à l’avant plan. Le passage à niveau électrique permet son installation autour d’une ou deux voies. La version manuelle ref 6949 ne permet que le passage d’une voie.

Schéma de câblage de la brochure de réseaux montrant l’utilisation des pédales de commande pour un sens de circulation.

Très belle illustration du couvercle de la boite du passage à niveau électrique. Les véhicules semblent être d’origine anglaise.

La même boite, telle que l’acheteur de 1967 pouvait la découvrir en rentrant de ses emplettes.

Les butoirs éclairés

Dans la plus pure tradition du heurtoir hydraulique qui existait à l’échelle 0, le heurtoir éclairé d’origine Hornby Dublo ref 2451 est particulièrement adapté aux gares terminus. Il ne sera disponible que de 1963 à 1964. Le rachat par Triang mettra fin aux productions Dublo.

Livré par boite de deux, les tampons sont équipés de ressorts pour permettre d’amortir les fausses manœuvres des jeunes amateurs HOrnby-acHO. A l’arrière plan, le heurtoir simple ref 661 puis 6610 est plus sobre.

La gare, les compléments de quai et les buttoirs à ressort constituent un ensemble harmonieux pour une gare terminus.

Arbres et haies communs aux écartements O et HO

Les arbres et les haies de l’assortiment des trains 0 hornby sont aussi un bon complément pour les trains HOrnby-acHO.

Une page du catalogue Meccano qui présente en arrière plan des trains complets les haies et les arbres.

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Autres accessoires et compléments

Des chargements sable, charbon et minerais sont disponibles sous la forme de trois boites vendus en accessoire pour le tombereau à deux essieux, le wagon Arbel et le tombereau à bogies. Ainsi le minéralier à bogie Arbel peut troquer son chargement pour du sable grâce à la référence 6981 et la boite 6982 du fond permet de varier les chargements sur le tombereau TP de droite.

HOrnby-acHO était spécialiste des colis de réseau, du plus modeste au plus évolué. C’était un moyen simple d’éviter le casse tête des vendeurs pour tenir à disposition les rails de coupure nécessaires avec les aiguillages ref 777 et 778 pour lesquels il manquait toujours la bonne référence. Ici la version la plus économique, le colis de réseau Simplec ref 6030 vendu 30 francs en 1965.



Le colis N°10 permet de construire le magnifique réseau très complet illustré ici dans le catalogue 62/63. Ici aussi, les arbres destinés à l’échelle 0 sont utilisés. Ce colis était vendu 165 francs en 1965 soit environs 205 de nos Euros actuels. C’était une belle somme si l’on songe que la locomotive la plus chère, la CC 060DB valait à la même époque 72 francs.


En 1968 avec les nouveaux aiguillages à pointes de cœur isolés, les colis de réseau sont refondus. Adieu les rails de coupure compliqués, vive la simplification. Les bâtiments sont évoqués sur le dessus de la boite pour agrémenter un réseau complet.


Les différents boitiers de commande à contacts permanents ou à impulsion et les plaques de connexion très pratiques pour alimenter les nombreux sectionnements nécessaires avec le système HOrnby-acHO. A noter la petite touche de couleur posée sur chaque borne de raccordement pour faciliter le repérage des amateurs.


Hornby fournissait sous sa marque des rouleaux de câbles.

Tout un choix de couleurs est disponible. Le système de petites bornes de raccordement avec touche à ressort de Hornby est très pratique et assure un contact fiable. Il est nettement plus pratique que le système de fiches développé par Märklin.

Le fin du fin ; graisser sa 131 TB HOrnby-acHO avec l’huile maison. Au début de la marque, un flacon était joint à chaque coffret de départ, c’est dire l’importance accordée par la firme à la maintenance, au bon fonctionnement et à la durée de vie accrue de ses modèles.


La gamme très complète des transformateurs et coupleurs à piles illustrée dans le catalogue 1964.

Les transformateurs ref 643 pour un secteur en 110 volt (encore très courant à l’époque) et ref 644 pour le 220 volt sont disséqués pour vanter la qualité et le haut niveau de sécurité de ces composants. Sur la droite, le coupleur contrôleur est équipé de trois piles plates d’un design qui évoque les défuntes piles Wonder, « les piles qui ne s’usent que si l’on s’en sert » selon la publicité de l’époque.

Un regret, contrairement à l’échelle O, Hornby n’a jamais sorti de tunnel pour l’échelle HO. Ce manque est ici comblé par un modèle d’importation Allemand Noch.

Terminons par cette page du catalogue 1967/68 à destination des modélistes et qui vante les mérites de l’indispensable brochure de réseau ref 7999. Un réseau très complet est présenté avec éléments de pente et utilisation de la gare en configuration terminus.